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L'équipe:

José

Mes trois plus beaux moments :

3- Rencontrer des archéologues, dont deux québécois, au milieu de nulle part (i.e. la campagne mongole) et savourer un festin traditionnel mongol autour d’un immense feu de joie.

2- Vivre les festivités de la fête nationale (Naadam) et déguster une vodka (ou deux) pour célébrer la plus grande course de chevaux du pays… à huit heures du matin !

1- Notre déménagement nomade, du camp d’hiver au camp d’été avec la construction de notre yourte sur le bord d’une rivière au milieu des steppes mongoles.

* Mention spéciale à l’Ouest du pays, pour l’ensemble de l’œuvre.

Les trois plus grandes difficultés rencontrées :

3- La nourriture… Manger du mouton bouilli (extrêmement gras), sans le moindre petit légume, matin, midi et soir fut une expérience ardue.

2- L’obtention tant espérée d’un visa de trois mois… qui nous a finalement été refusé, nous obligeant à terminer notre périple plus rapidement que prévu.

1- La langue dans toutes ses subtilités : comme comprendre la différence entre onoodr (aujourd’hui) et nogoodr (après-demain) !

Ce que j’ai appris…       

Ce voyage m’a poussée aux limites de moi-même. J’ai tellement appris sur mes capacités, mes forces, mes faiblesses tout en découvrant un pays et un peuple majestueux, extraordinaire et, surtout, unique.         

Défi Vet-Monde a été pour moi une expérience grandiose et extrêmement enrichissante parsemée de rencontres et d’évènements inattendus, passionnants, magiques.

Marie-Michèle

Mes trois plus beaux moments :

3- Notre expédition à cheval dans le Nord de la Mongolie qui nous a permis de découvrir le peuple nomade Tsaatan et leur relation avec les troupeaux de rennes.

2- Lorsque j’ai tenu un aigle de chasse sur mon bras dans l’Ouest de la Mongolie.

1- Lorsque nous avons fait le tour des banlieues de Ulaanbaatar pour sensibiliser la population à la vaccination des chiens contre la rage.

Les trois plus grandes difficultés rencontrées :

3- La langue ! Ce fut particulièrement difficile lors de notre premier stage puisque nous nous sommes retrouvées dans un tout petit village isolé où la seule langue parlée était le Mongol.

2- Les transports en Mongolie n’étaient pas de tout repos. Nous devions toujours revenir dans la capitale avant de repartir vers une autre destination.

1- Le fait que certains de nos stages n’aient pas eu lieu par manque de communication entre les différentes personnes ressources. Heureusement, nous avons réussi à nous débrouiller et à trouver d’autres projets intéressants.

Ce que j’ai appris…

Malgré tout ce que j’ai pu apprendre en Mongolie, je dirais que j’ai surtout appris sur moi-même. J’ai appris à reconnaître mes limites, mais aussi à me dépasser chaque jour pour pouvoir faire face aux nombreux imprévus que nous avons rencontrés au cours de notre séjour. En côtoyant ce peuple nomade, j’ai aussi appris à apprécier davantage chaque petit instant. Pour eux rien ne presse et chaque chose arrive en son temps. Les Mongols sont loin d’être un peuple stressé !

Pour moi, Défi Vet-Monde c’était la promesse d’un dépaysement total et la chance de pouvoir découvrir la médecine vétérinaire dans un pays totalement différent au nôtre. Ce fut effectivement un projet rempli d’imprévus, de rencontres inoubliables et de découvertes fascinantes sur la relation homme-animal. En fait, l’expérience Défi Vet-Monde, de la préparation du projet à la conférence au retour, restera pour moi une expérience de vie unique.

Maude

Impossible de ne pas présenter notre amie et acolyte dans cette merveilleuse aventure. Bien qu’elle n’ait pas pu se joindre au voyage, son âme fait également partie de ce projet. Elle y a mis beaucoup de son énergie, et elle était avec nous, du moins en pensées, pendant chaque moment de ce périple... Merci, particulièrement pour ta générosité et ta sagesse face aux épreuves de la vie !